Alexandra Coenraets

Traductrice de formation, j’ai travaillé dans l'industrie pharmaceutique pendant près d'une dizaine d'années, comme assistante en recherche & développement et recherche clinique, avant de me réorienter. Par mon histoire personnelle, j’ai développé très tôt une grande capacité d’empathie, percevant ensuite l’importance de cultiver celle-ci, dans une écoute de soi et d’autrui.

L’envie de me tourner vers une profession où l’humain serait central m’amène à me former à la médiation. Durant quatre ans, j’explore différents champs, dont la médiation familiale, scolaire, pénale et en entreprise, dans une perspective systémique.

Je suis également formée en Analyse Transactionnelle (plus d'infos : http://www.ecoledesparents.be/fca.html).

Parce que les difficultés de communication sont multiples, qu'elles se cristallisent dans la sphère émotionnelle, je suis persuadée que la société gagne à faire davantage connaître la médiation comme mode de résolution des conflits.
Je consacre une partie de mon temps libre à l'écriture, et publie un premier roman intimiste en 2013. C'est par cette alliance entre savoir-être et savoir-faire, toujours en évolution, que j’accompagne les personnes en situation conflictuelle.

Martine Morrissens

J’ai toujours été intéressée par les relations humaines, particulièrement les relations parents/enfants, et les ai mises au centre de mon parcours. Sociologue de formation, j’ai d’abord travaillé auprès du Juge de la Jeunesse, avant d’enseigner l’économie et la sociologie dans l'enseignement secondaire, pendant plus de trente ans.

Le conflit est nécessaire et inhérent aux relations, j’en suis convaincue. Partant du constat qu’il est souvent nié au lieu d’être résolu, alors qu’il est générateur de reconnaissance de l’autre, j’ai entrepris une formation en médiation. Celle-ci m’a notamment permis d’aller à la rencontre de jeunes et d’intervenants en IPPJ (Institution Publique de Protection de la Jeunesse), et de leur proposer un accompagnement par la médiation.

Dans une société de plus en plus individualiste, où les liens sociaux s’effilochent et qui voit s’ancrer une jeunesse désorientée, la médiation m’apparaît un processus relationnel fondamental et accessible à tous. Chacun peut en effet s’en approprier les outils, pour ensuite les utiliser dans son quotidien, et ainsi faciliter la communication.